me lamentais-je qu'elle a grimpé sur moi et enfonça sa langue mouillée dans ma bouche: “suce la”. La nuit entière devait se dérouler sur des directives sporadiques sur fond d'exclamations de jouissance.
A la fin de notre danse buccale j'avais apaisé ma soif. La façon dont elle utilisait sa langue charnue et ses mains m'annonçaient beaucoup... J'avais aussi exploré ses belles fesses rondes et fermes. Ma saillie de mature s'était réveillée. Elle l'a senti et commença à défaire mon pantolon d'une main alors que de l'autre elle serrait ma cuisse. Elle m'a débarassée de mon froc et ma chemise puis se redressa sur ses jambes pour faire tomber les bretelles de sa robe qui glissa à ses pieds. Sa sculpture bronzée était devant moi... j'ai voulu m'attaquer mais: “pas touche, pas encore”. Je m'adossa alors pour la contempler; cheveux à la Monkiki, un corps glabre et lisse. Sans soutif et le string plus petit que la paume de ma main dissimulait une petite bosse entre ses deux jambes de mannequine... De ses larges aréoles foncées s'érigaient de grands tétons noirs, les sommets de ses demi-pamplemousse à peau de velour. En baissant le triangle à dentelle elle libéra un dard à grosse tête. Je saisi son astuce pour le dissimuler. Wow! Sa taille dépassait largement celle de ma petite clito d'onze cm, érectée svp. Ça ne m'inquiétais pas pour autant car j'adorais les gadgets de taille pour me (faire) sodomiser. Mon coeur allait me quitter et le bourdonnement dans mes oreilles me rendait sourd.
Selmi s'est agenouillée de nouveau et emboucha ma gnome. Toujours assise collée au dossier en cuir, j'ai basculé mes grosses hanches pour lui faciliter la tâche mais aussi pour qu'elle découvre MA chatte qui brûlait d'envie. Elle lêchait ma naîne comme une glace. Sa salive avait trempé mes bourses et de là mon anneau. Elle souleva mes jambes pour fouir ma grotte avec sa langue charnue. Je gémissait... Elle a coupé court... elle ne voulait pas que j'explose mais de toues les façons avec mon âge et le rouge j'aurai pu durer beaucoup plus.
